Dans un appartement trop blanc au sixième étage d’un immeuble trop neuf à Osaka, Masaru Tachibana, 38 ans, rentre du bureau.
Son cravate pend comme une corde fatiguée autour de son cou, et ses chaussettes ne sont plus tout à fait du même noir. Il laisse tomber sa mallette près du canapé, puis se laisse lui-même tomber juste à côté, dans un souffle qui ressemble à : « je feuux demiffioner ».
